Elhyareno, carnet de voyage d'un exilé.

L'Agora est la place publique située devant l'Arène où tout le monde se retrouve pour discuter des combats. On y dénombre de nombreux cafés, où certains habitués ont l'habitude de se réunir et parler de leurs derniers exploits.

Elhyareno, carnet de voyage d'un exilé.

Messagede Elhyareno » Jeu 2 Juin 2011, 01:00

Bonjour !

Motivé par l'initiative d'Esthel ;) , je me décide à poster à mon tour ce que j'ai pu écrire ou imaginer lorsque j'ai créé mon écurie et ses combattants. Bien évidemment, je l'ai remodelée après avoir rejoint les Atlantes, y voyant une grande source d'inspiration RP-esque. Bref, toujours est-il que j'ai déjà pas mal d'idées à développer sur les Faux Furieux, en voici le début.


Oh, une dernière chose, j'ignore s'il existe un background officiel développé, je n'ai rien trouvé, il se peut donc que je fasse quelque entorse à l'univers, donc si quelque chose vous fait tiquer n'hésitez pas !

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Après que les atlantes eurent perdu leur foyer. De nombreuses familles partirent s'installer aux quatre coins du monde, oubliant pour la plupart leur glorieux passé de combattant, préférant la tranquillité. Cependant, certaines d'entre elles ne purent s'y résoudre. Ruminant leurs passé et élevant leurs ancêtres à un rang quasi-divins, elles continuent de s'entraîner en vue du jour où, dans un sillon de sable et de sang , ils domineront à nouveau tout les cœurs et tout les esprits, marquant au fer rouge la mémoire des hommes. En attendant, dans une tour, dans une taverne, se tient un homme...

Je m'appelle Elhyar Strateg Eda Suna Eno, mais appelez moi Elhyareno, ou Elhyar. Je suis un descendant lointain d'une famille atlante, une famille de stratège, soi-disant. Comme la plupart des miens, je vagabondais il y a encore quelques années, cherchant quoi faire de ma vie. Mais aujourd'hui j'ai trouvé ma voie, la même que celle de mes ancêtres, dans cette tour.
Comment j'en suis arrivé là ? C'est une belle histoire, elle est un peu longue, asseyez-vous donc et écoutez.


Elle commence il y a de nombreuses années, lors de mon errance de par le monde. Mon périple avait pris une tournure assez désastreuse, coincé dehors par un hivers particulièrement froid, je cherchais un abri. Dans les premiers temps, je dormais dans des granges, arrivant après le crépuscule, repartant avant l'aube, « heureusement que les nuits sont longue » pensais-je alors. Puis la chance finit par me sourire.
Au détour d'un chemin dans une vallée enneigé, un détail me frappa, je venais de croiser une pancarte écrite en atlante. Étonné de trouver cette écriture dans ces terres lointaines, je suivis le chemin qu'elle indiquait. Après quelques minutes de marche, les yeux scrutant la désolation de neige, je tombais sur une maison à flanc de montagne. De la bicoque, assemblage hétéroclite de morceau d'épave d'une machine des temps anciens, de tôle froissé et de pierre taillé, s’échappait un filet de fumée. Je frappe, on m'ouvre et m'offre l'hospitalité dès que je me présente. C'est ainsi que la famille Crieg Eta Nodo Reur m’accueillit comme un de leur membre, après tout j'étais un lointain parent...

Hum, attendez ! Ou l'ai-je mis ? Ah ! Voila, mon carnet de voyage. J'y ai consigné la plupart des évènements marquant de cette période, dont j'ai été témoin ou que l'on m'a raconté. Je vais à présent vous en lire des passages, ceux qui me semble les plus important. Oh celui là, il est bien, commençons.

Carnet de voyage d'un exilé, partie une : Rencontre sous la neige.

« Graaa l'enfoiré ! grogna Terre.
- En même temps, tu l'as bien cherché, grande sœur. répondit Air. Tu veux toujours te battre avec père, et tu finis toujours blessée. Si tu n'étais pas sa fille, il t'aurait tué.
- Ouais, ouais, mais comment pourrais-je me sentir digne nos ancêtres si je ne peux pas me battre comme une Reur digne de ce nom ?
- Il te manque une raison qui te tienne vraiment à cœur, regarde, moi, je me bats pour rester auprès d'Argouf et pour notre futur. Ça me donne de la force.
- ... je vais y penser, je n'ai personne d'autre que vous, tu le sais. Pfff, je vais chasser, à plus tard. »

Terre marchait à présent dans la neige, retournant dans sa tête les mots de sa sœur. Elle détestait les hommes, comment pourrait-elle se battre pour un de ces mufles ? Elle marmonna et accéléra. Fenrir, la louve que son père lui avait confié venait d'apparaître sur une crête. Au moins la chasse lui viderait la tête de ses soucis.

Quelques heures plus tard

La chasse avait été moyennement fructueuse, elle espérait que le gibier qu'elle ramenait dans sa besace apaiserait la colère de son père. Alors qu'elle marchait le long du chemin menant à la vielle bicoque, elle entendit des sanglots. Dans l'ombre d'un rocher, un jeune homme était recroquevillé et pleurait. Ce n'était qu'un enfant perdu, le cœur de Terre se serra, elle baissa la tête.
Elle ne pouvait plus en avoir, une vielle blessure héritée d'un combat contre des pillards lui avait ôté l'espoir d'être mère un jour. Elle se pencha au dessus du garçon et lui demanda :
« Qui es-tu ? Quel est ton nom ?
- Aldor, je m'appelle Aldor, dis le jeune garçon en étouffant ses sanglots, et je suis perdu. »

Terre attacha ses bagages sur le dos de Fenrir et pris Aldor dans ses bras, « Il a du perdre les siens » pensa-t-elle.
« Aller tu vas venir avec moi, j'peux pas te laisser ici. »
Elle l'ignorait encore, elle n'avait pas encore pris la décision, mais elle élèverait Aldor comme son fils, ce serait ça raison de vivre, de combattre.

Eh ouais, c'est comme ça que l'p'tiot nous a rejoint.
... Oh, vous voulez en savoir plus sur Argouf et Air ? Bien bien, Argouf m'a raconté leur histoire. J'vais vous raconter ça à mon tour, sont mignons ces deux lascars !


A suivre...
Dernière édition par Elhyareno le Jeu 2 Juin 2011, 09:53, édité 1 fois au total.
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Re: Elhyareno, carnet de voyage d'un exilé.

Messagede Esthel » Jeu 2 Juin 2011, 08:04

Content aussi de n'être pas le seul à me taper des auto-délires !

Non, pour l'instant, il n'y a pas vraiment de background officiel. On en a parlé récemment avec Mohja et Gazdag, c'est aux joueurs de le faire, via les livres de missions ou leurs histoires.
Il y a bien sûr une base, "Dans un monde futuriste, la Tour de Mohja est le centre névralgique du jeu sous toutes ses formes. Un sport en particulier déchaine les foules, des combats à mort inspirés de ceux de la Rome Antique. Des gladiateurs boostés aux implants et aux nano-machines s'affrontent pour devenir le numéro 1." Mais à nous de broder autour.
Pour l'instant, il n'y a que la description de la Tour publiée sur la première page de la Gazette qui a été officiellement validée par Mojha. Mais elle commence à dater...

En tout cas, sont sympa tes petits personnages, vivement la suite de leurs aventures !
Esthel
 

Re: Elhyareno, carnet de voyage d'un exilé.

Messagede bebel » Jeu 2 Juin 2011, 09:26

:clap:
Excellent vous deux...un plaisir de vous lire...
Je veux la suite!
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Re: Elhyareno, carnet de voyage d'un exilé.

Messagede Elhyareno » Jeu 2 Juin 2011, 14:02

Carnet de voyage d'un exilé partie deux : La fille au bord de l'eau.

Je vous rapporte cette histoire telle qu'Argouf me la confié.

La première fois que je vis Air, je ne pus m’empêcher de la dévisager. C'est la dernière des filles Reur, venue dans ce monde alors que sa mère le quittait. Là ou la plupart auraient fuit ou craint de s'approcher d'elle, je n'eus pour seule envie que de lui parler. Elle n'est pas vraiment laide, elle est étrange, marquée dans sa chair par la pollution ambiante. Son père m'a raconté qu'elle était une miraculée, menée à terme contre toute vraisemblance. Cependant, ce serait une erreur de croire qu'elle est faible. Bien que ce soit l'impression que j'ai eu quand je l'ai aperçu la première fois.

C'était en automne, je crois, au bord de ce lac rouge dans la vallée. Elle y venait tout les jours s'y contempler et je l'observais de loin tout en relevant mes pièges à rats. Un jour, je suis allé lui parler, au début elle a cru que je lui voulais du mal et je fus rapidement mis à terre. Finalement, elle m'écouta. Avec le temps c'est devenu romantique et j'l'ai épousé.

Si vous vous demandez pourquoi elle venait à ce lac. C'est simplement que l'eau de ce lac est la source du poison qui a tué sa mère. Et c'est là qu'elle y repose à présent.

C'est chouette non ? Argouf n'est pas vraiment humain non plus, j'me demande à quoi ressemblerait leurs gosses. Bref, dans ces histoires je fais mention d'un lac et d'une vallée. Elle n'est pas très loin de la tour, que l'on aperçoit au loin quand on gravit l'un des cols, il n'y a pas beaucoup de végétation, seul persiste quelque herbes et buissons secs. Quand au lac rouge, c'est là que finis toute l'eau qui ruisselle des environs, drainant au passage tout ce qui traîne. Entre le col et le lac, il y a la maison des Reur, seule habitation des environs. Si on cherche une ville, il faut marcher en tournant le dos à la tour, on arrive alors à un bidonville connu sous le nom de Martak. C'est d'ailleurs près de cette « ville » que j'ai fini par rencontrer Boulgour et Glexin. Tiens, j'vais vous raconter ça !

Carnet de voyage d'un exilé partie trois : L'enfant des rues et la danseuse.

L'histoire de Boulgour et Glexin commence donc à Martak. Nés de parents inconnus, probablement morts, ils ne se souviennent que d'avoir vécu dans les rues. Très vite adoptés par la mafia locale, ils sont formés au combat afin d'accomplir le sale boulot de leur « grands-frères ». Le gros de leur boulot consistant à récupérer les dettes de jeu des parieurs, souvent par la force,. Ils vécurent comme ça pendant des années, ayant pour seule distraction les rediffusions des combats émises depuis la tour et la danse.
Puis un jour tout bascula lorsque la milice locale, qui jusqu'à présent n'était pas une menace sérieuse, frappa le cœur du crime organisé. Assassinat et fusillade envahirent les rues dans un semblant de guerre civile. C'est à cette époque que Boulgour devint l'homme qu'il est aujourd'hui, capturé lors d'une escarmouche, il fut d'abord torturé puis servit de cobaye pour tester diverses drogues et nano-technologie, dans le cadre d'un programme de développement de super-soldat. Une année s'écoula avant que le centre tombe au mains de ses camarades qui le sortirent de là.

La plupart des implants lui furent retirées, et après une longue convalescence il pu reprendre les armes. Malheureusement c'était une guerre perdue d'avance, Boulgour fini par fuir emportant Glexin et la documentation du programme avec lui.

Je les ai rencontré à ce moment là, à la sortie de la ville, au prise avec la milice. Suite à un enchainements d’évènements chaotiques qui reste flou dans ma mémoire, je me retrouvais au volant d'une jeep volée, une lame sous la gorge, du sang sur les pneus. Finalement je les ai conduit dans la vallée, j'étais alors loin de me douter de ce qui m'attendait là-bas.

Je pense que c'est à ce moment que notre groupe s'est vraiment formé.

A suivre...
Elhyareno
 

Re: Elhyareno, carnet de voyage d'un exilé.

Messagede shedu » Jeu 2 Juin 2011, 22:26

Idem continu c'est vraiment sympa à lire.
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Messagede Elhyareno » Mar 7 Juin 2011, 14:44

Carnet de voyage d'un exilé partie quatre : La mort du père, la nouvelle doctrine.

Finalement, Boulgour et Glexin ne furent pas si difficiles à calmer. N'étant pas du coté des autorités de Martak et curieux d'en apprendre plus sur les capacités de Boulgour je leur promis de les aider à se cacher auprès des Reur. Nous roulâmes donc jusqu'à la maison, tranquillement. A notre arrivé je devint très inquiet, la maison était particulièrement agitée, je fus rassuré lorsque j'appris que c'était seulement le patriarche qui faisait la cuisine. Nous passâmes donc à table, il y avait deux plats ; une soupe de tubercules et des crudités avec de la viande fumée. C'est là que le père mourut, il avait lui-même ramassé les ingrédients et certain étaient toxique. Boulgour, le seul à avoir touché au même plat ne sembla pas affecté et mangea tout ce qui restait devant nos regards effrayés, seule Glexin sembla trouver ça normal. Après cet incident, nous enterrâmes le père, il n'y eu cependant pas de tristesse lors de cette soirée. « Nous préparons notre mort et celle des autres à chaque instant » était la devise de notre communauté. Après une nuit calme, nous nous réunîmes autour de nos deux visiteurs. Nous voulions savoir pourquoi Boulgour n'avait rien et d'où venait ses aptitudes physiques hors normes. Ils nous racontèrent brièvement leurs histoire et nous parlèrent de ces documents qu'ils avaient pris avec eux. Nous ne disposions cependant pas du matériel informatique pour les lire, et Fu et Eau ne pouvaient pas en fabriquer un avec les pièces dans la remise. Après une discussion longue et parfois houleuse, nous décidâmes donc de partir vers la tour, il y aurait sans aucun doute tout ce qu'il faudrait là bas. Boulgour voulait participer à des combat pour gagner sa vie, Glexin ne voulait pas se séparer de lui, et nous voulions les connaissances de Boulgour.

Après un voyage sans encombres, nous arrivâmes à l'entré de la ville qui s'étendait au pied de la tour. Nous achetâmes un appartement moisi en vendant la jeep, suivit par l'achat du matériel et des outils qui nous manquaient. L'étude des documents commença, c'est ainsi que nous découvrîmes la véritable nature des expériences menés sur Boulgour. Le projet de recherche avait pour but de créer des soldats capables de survivre à d'importantes blessures, aux poisons et étant doté d'un sang froid à toute épreuve. Avec cette technique, nous souhaitions former une équipe et combattre dans l'arène. Avant cela, nous devions appliquer les modifications et je décidai en tant qu'entraîneur de préparer mes amis à la douleur, déployant toutes mes techniques, certaines étant de la véritable torture. Cependant, je sous-estimais les séquelles de mon traitement de choc qui s’avéra plus efficace que les drogues pour l'acquisition du sang-froid. L'auto-mutilation devint alors un des fondements de notre nouvelle doctrine que j'appliquai alors à moi même. Ensuite vint la chirurgie qui se déroula sans encombre et l'entrainement technique assuré par Terre. Nous étions prêt, malgré les quelques désagrément lié à la transformation : perte d'émotivité, tics nerveux et parfois une perte de contrôle totale, sans compter l'énorme quantité de calorie consommé par nos corps modifiés. Les habitants de notre quartiers nous appelait les zombies à cause de leurs superstitions, certain essayèrent même de nous tuer mais ce sont eux qui moururent. La plupart hurlait « monstres ! » ou « bande de fous furieux ! » avant de mourir, nous trouvions que c'était inapproprié bien qu'amusant, Aldor qui avait mal entendu s'exclama alors : « c'est vrai, on est des faux furieux dans le fond ». Depuis lors nous sommes devenus des gladiateurs connu sous ce nom.

Petite précision à propos des filles Reur : Dans la famille Reur, les Enfants héritent des talents et techniques de la famille selon leur ordre de naissance, ainsi Terre la première-née est l'artiste martiale, Eau la seconde a hérité du savoir technologique, Fu la troisième est une spécialiste en médecine et enfin Air est la sœur spirituel et la gardienne du culte.

Bon voilà l'histoire de notre petite équipe. Je n'ai pas beaucoup parlé de certain personnages, ce n'est pas un problème regardez, je prend des notes sur eux, après tout c'est normal pour un entraineur. Je vous parlerai plus en détails de chacun d'eux, mais d'abords payez moi donc un verre, j'ai l'gosier à sec à force de parler !
Elhyareno
 

Re: Elhyareno, carnet de voyage d'un exilé.

Messagede Esthel » Mar 7 Juin 2011, 16:34

Fu, c'est le petit nom de Fu Leng ? Un parent éloigné ?
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Re: Elhyareno, carnet de voyage d'un exilé.

Messagede Elhyareno » Mar 7 Juin 2011, 16:42

:D Aucun autre rapport que le prénom, Fu Reur pour le jeu de mots. :victory:
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Re: Elhyareno, carnet de voyage d'un exilé.

Messagede Elhyareno » Ven 17 Juin 2011, 13:00

Elhyareno s'enfile le verre de moloko+ que lui paye son auditeur.

Ah, ça fait du bien, donc je parlais de mes notes sur mes guerriers. Je peux vous en dire un peu, pas trop non plus j'aime bien les surprises. Alors voyons.

Elhyareno

Descendant d'une famille atlante, il suivit ses parents marchands jusqu'à ses 15 ans avant de partir à l'aventure. Passionné par l'histoire de son peuple, il rechercha force et technique au cours de son voyage. En réalité il ne rencontra que deux peuples pouvant l'aider dans sa quête avant de rejoindre les Reur. Les premiers sont un peuples barbare vivant dans une région marécageuse, leur culture était axée autour de la survie et de la maîtrise de soi. Elhyareno y apprit entre autre des technique de survie mais aussi et surtout les techniques de renforcement mental qu'il utiliserait plus tard sur son équipe. Le symbole de ce peuple est un poisson hybride, mi-requin mi-piranha utilisé lors des entraînement. Ce poisson est très sensible à l'état d'esprit dans lequel se trouve les formes de vie qu'il croise, ainsi pour ne rien avoir à en craindre il faut être parfaitement calme. On considère qu'un guerrier capable de se baigner dans un bassin remplit de ces créatures est un guerrier complet. Les faux furieux sont entraînés afin de pouvoir passer cette épreuve sans mourir. La deuxième rencontre concerne un peuple maîtrisant la cybernétique, Elhyareno alla à leur rencontre afin d'obtenir la documentation permettant de reproduire les modifications apportés à Boulgour. Il apprit à ce moment qu'il existait des reliques datant d'une époque lointaine et qui permettrait à ceux qui les trouvent de créer le guerrier bio-cybernétique ultime. Depuis, Fu et Air voyage à travers le monde afin de trouver ces reliques.

Outre ses capacité de leader, ses connaissances martiales et sa culture. Elhyareno s'est spécialisé dans l'élevage de requins-piranha et de mille-pattes géants. Il collectionne les armes anciennes et les statues de femmes.

Terre Reur :

Ainé des Reur et aujourd'hui chef de la famille, elle fut entraîné à la dur dés son plus jeune age.
Elle déteste les hommes d'une manière général, exception faites d'Aldor, Argouf et Elhyareno. Ses principales occupation son l'entretien des sabre, sa louve et la chasse. Elle ne vis plus que pour combattre et son seul souhait est d'atteindre le sommet par la force, dominant tout les hommes de la terre.

Eau Reur :

La seconde des Reur, passionné par la technologie (surtout la militaire) elle combat pour essayer ses créations. Complétement indifférente aux autres, seul le savoir l'intéresse. Elle passe ainsi son temps à bricoler dans l'atelier de l'écurie entre chaque combat.

Fu Reur :

La troisième, muette et albinos. D'une nature complétement renfermée, froide et distante elle n'en reste pas moins une toubib efficace. N'ayant pas d’intérêt particulier pour le combat, elle n'y va que pour soutenir ses camarades. Elle passe son temps à écouter de la musique (même dans l'arène) et ne semble s'intéresser à rien d'autre que la médecine.

Air Reur :

La dernière et la plus mal-formé, elle n'est cependant pas faible et possède une force hors du commun, bourrine par nature, collant des baffes au nom du culte des ancêtres. Elle est mariée à Argouf, mutant et brutal lui aussi. Hyperactive elle passe son temps à s'entrainer ou à copuler avec son partenaire.

Aldor :

Fils adoptif de Terre, il possède une queue et des oreilles en pointe indiquant qu'il est probablement un mutant, il ne garde que des souvenirs d'errance avant d'être recueilli par les Reur. Tout comme sa mère il affectionne les sabres et est un artiste martial impitoyable. Endoctriné par sa mère, il aspire à devenir un tueur de champion et ne sera satisfait que lorsque les plus grand seront tous sortit les pied devant de l'arène.

Argouf :

Ancien trappeur devenu mari d'Air, il est le reflet de sa femme. Il a la peau verte, cheveux blanc et mesure deux bon mètres de haut.

Boulgour :

Ancien membre de la mafia et sujet d'expérience, il combat par loisir. Ses seuls passe-temps sont de regarder Glexin danser et de visionner les matchs les plus sanglant de l'arène. Il a aussi une lubie a propos des photo de scène de crime ou de guerre.

Glexin :

Sœur de Boulgour, elle considère l'arène comme une piste de danse et combat pour la beauté du geste. Elle est passionné de tatouage, piercing et passe son temps à danser, elle pratique aussi la taxidermie sur animaux de compagnie. Il n'est pas rare qu'Elhyareno retrouve certain requin-piranha empaillés sur son bureau.

Hum, bon c'est pas tout mais je dois aller nourrir mes bestiaux.

Elhyareno se lève et quitte le bar.

A partir de maintenant, je ferais des récit indépendant selon mon inspiration. Entre autre et je pense que ce sera le prochain, sur le voyage d'Air et Fu pour trouver les reliques ou peut-être la présentation de leur repère si je me motive à dessiner.
Elhyareno
 

Re: Elhyareno, carnet de voyage d'un exilé.

Messagede Esthel » Mar 21 Juin 2011, 19:29

D'ailleurs, bienvenue à Air Eur dans l'arène !
Esthel
 

Re: Elhyareno, carnet de voyage d'un exilé.

Messagede Elhyareno » Mar 21 Juin 2011, 19:53

Oui, elle rentre de voyage avec Fu, qui rejoindra l'arène peu après ! :upgrading:
Elhyareno
 

Re: Elhyareno, carnet de voyage d'un exilé.

Messagede Elhyareno » Lun 31 Oct 2011, 19:29

Au large de la cote, sur une ile de roche noire, se tient une base.
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Repaire des Faux Furieux
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Véritable installation souterraine, ce bunker s'étant sur trois niveaux.

Au RDC se trouve le bureau du manager, ainsi que le Fan club.
au 1er sous sol, se trouve les dortoirs, les salles d'entrainements, et le réfectoire.
Au deuxième et dernier sous-sol se trouve le labo médical et l'atelier.

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Fu observait la dépouille de Glexin dans le cercueil de glace, elle se souvenait leur rencontre comme si il ne s'était écoulé qu'une nuit. C'est avec un mélange d'amertume et de colère qu'elle actionna le levier de fermeture de la tombe. Néanmoins, elle resta calme et s'en retourna vers son laboratoire. Dans un coin, son matériel de manipulation génétique tournait à plein régime, et les premiers résultats positif de ses tentatives d'hybridation inter-espèces étaient là. Elle était prête pour l'étape suivante.

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Carnet de bord d'Elhyar :

"Les résultats de Fu Reur sont prometteur, nous avançons à grand pas vers le guerrier idéal, le premier essai de création vient d'être lancé, avec pour base l'ADN de Glexin..."
Elhyareno
 

Re: Elhyareno, carnet de voyage d'un exilé.

Messagede Esthel » Mar 1 Nov 2011, 19:19

C'est toujours triste de voir un gladiateur qui a une histoire, mourir. Je compatis, Elhyareno et espère que ses camarades s'en remettront et trouveront la force de venger Glexin, tombé vaillamment au combat.

Que sa mort ne soit pas vaine !
Esthel
 


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